Lettre au chevet de ma vénusienne | Résumé | A la rue du nord | Crottes de chiens.. |
J'aurais aimé continuer a te regarder dormir, toi dont le corps et les rêves semblent converser avec les Dieux, dans ce sommeil enchanteur et lumineux. Toi qui m'assouvit, me régénère, m'épanouit, me sublime par le simple fait d'être. Chaque seconde auprès de toi est un voyage merveilleux au cours duquel nous nous découvrons toujours plus religieusement. Mais, si je dois m'éloigner de toi, je reste imprégné de ton corps. A ton réveil rejoint moi à l'Acropole, je te construit là bas un mausolée vivant. Accepte le présent d'un baiser tendre et brûlant (mais ne téléphone pas en Grèce, je ne t'attendrai qu'au bar de l'Acropole).
Deux mots de plus avalé par la feuille blanche. Bluesé par la Zique de Led Zep. Allumé du cigare. Le soleil brille les filles sont belles. Envoûté par Paris. Je voyage dans le temps Et les chats me reconnaissent. Le bruit des sirènes s'atténue à mesure de mes pas! Pascal
Le rythme d'hiver on l'enterre Apéro du soir, cauchemar Car à Pâques on a le trac Que l'été nous trouve patraque A la rue du nord, on perd pas le nord Alors, on s'prend en main Claquettes, gym, footing le matin Tout est permis pour être jolies Plus de bitures, de la culture Plus de marge, on se purge A la rue du Nord, on perd pas le nord Et quand l'été sera là Youpi youpi tralala Sur les terrasses ensoleillées Les apéros vont recommencer A la rue du Nord, on perd pas le nord En hiver on boit des verres Au printemps on se reprend En été on se laisse aller On en profite pleinement Avis .... Les "pouëtesses" de la rue du Nord
Celles-ci sont du quartier Puisque c'est moi qui les ai semées Pas plus tard que ce matin quand madame a déjeuné Elle m'amène faire mes besoins Dans vos rues, faut dire ce qui est ! Alors de temps en temps, y-en a qui me crient après S'ils me laissent pas finir, je vais devenir constipé Que faire? Je m'interroge dans ma cervelle de clébard Faut bien que je fasse la chose, ca sortira tôt ou tard .... Pas devant vos maisons pas devant vos fenêtres, pas dans votre rue Je tourne et retourne sans trouver une issue Et puis, je m'abandonne enfin, n'y tenant plus En espérant en vain passer inaperçu Imaginez le calvaire d'être ainsi épié Sur votre trône, ca vous f rais quel effet ? Arrêtez la guerre, laissez nous ch... en paix N'oubliez pas que nous semons du bonheur Sur votre bitume triste et gris En distribuant tel des fleurs Des odeurs que l'on ne trouve même plus à Paris C'est la nature, c'est le désordre Et mettez-y le pied dedans encore et encore C'est du bonheur qu'on vous tend..... Alors bon pied ou bon Oeil ! ZouZ
07/96 . Copyright : Le journal de
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